domingo, noviembre 05, 2006

casa

La vue de ma fenêtre.
Ce qu'on ne voit pas c'est que le voisin du haut balance toutes ses saloperies sur les toits - y compris un de ses slips, qui verdit à vue d'oeil et dont je suis l'évolution avec inquiétude. Pour faire plus poétique, ce qu'on entend pas, c'est la rumeur des couverts qui monte des restos qui s'abritent sous la tôle..

En bas de la maison (les tours coincées à l'extrême gauche)
Mon quartier s'appelle El Recuerdo (le Souvenir).

Ce qu'on ne sent pas ici, c'est à quel point le type à droite, qui discute avec un de mes colocataires, sent l'alcool. En fait il est en train de s'excuser parce que la nuit dernière il était complètement bourré et qu'il a foutu le bordel en bas de chez nous (il voulait qu'on fasse la fête avec lui, c'est un ami de mes colocataires) et a mis hors de lui notre voisin du dessus (qui habite juste au-dessus de moi et que j'entends tout casser quand son fils rentre bourré). Epilogue et morale de l'histoire: Il a fini par s'endormir dans un parc à côté et s'est fait voler toutes ses affaires.

2 comentarios:

Jme dijo...

concernant le slip, le plus difficile est surement de gérer les retombées, et pour le mec propriétaire de l'objet,et pur le proprio du toit en tole :-)

Anónimo dijo...

j aime bien ou t habite so. ça a l air un peu trop industrielle a mon gout mais le quartir recuerdo. ça va bien. tu ecris bien, vraiment. tu as deja pense au journalisme ?
andrea